Les maladies psychosomatiques
« J’ai la rate qui se dilate, j’ai le foie qui ne va pas, le nombril tout en vrille… Ah mon Dieu que c’est embêtant d’être toujours patraque »
Vous connaissez surement ce refrain ?! Cela fait maintenant plusieurs années que les scientifiques ont démontré le lien entre les états affectifs et les maladies. Les humeurs, le stress et autres contrariétés de la vie peuvent s’ancrer sur le corps (et certains organes) pour le détériorer. Evidemment, tout le monde ne va pas développer un cancer après une réunion stressante ! Mais un stress répétitif, sur la durée, qui ne s’évacue pas ou encore des souvenirs refoulés trop longtemps, des maux d’esprits camouflés peuvent nous ronger de l’intérieur et développer des maladies (problèmes de thyroïde, ulcère, maux d’estomac, problèmes hormonaux…).

Savez-vous que 40% de la patientèle des médecins généralistes sont des patients dont la cause de leurs maux est psychosomatique.
C’est énorme !!!!
On peut retrouver des personnes avec des problèmes cardiaques mais un électrocardiogramme normal… pourtant elles ressentent des battements irréguliers, des sueurs, une douleur dans la poitrine… Alors que faire ?
Certains médecins maladroits les renvoient chez eux en leur disant cette fameuse phrase : « C’est dans vôtre tête! ». On est d’accord : la cause peut être psychologique (liée à une angoisse très souvent) mais les symptômes sont bien physiques et le patient souffre !

Prenons l’exemple maintenant d’une personne déprimée : elle aura une baisse d’énergie globale, une motivation amoindrie, une fatigue physique, une concentration difficile. Cette baisse d’énergie entraîne très souvent une immunodépression qui s’accompagne d’une triste série de rhumes, de bronchites ou d’éruptions cutanées.
Des médecins américains se sont intéressés quant à eux, à la sécrétion d’immunoglobines IgA (anticorps de la salive protégeant contre les infections virales et bactériennes) chez les étudiants passant leurs examens de fin d’année. Cette sécrétion s’était grandement amenuisée pendant cette période de stress. Ce phénomène était moindre chez ceux qui pratiquaient la relaxation. Diverses études apportent la preuve biologique de l’altération de nos défenses naturelles sous l’effet de la tristesse ou d’une situation psychologique difficile.
Prendre soin de soi c’est apprendre à se connaître pour reconnaître nos émotions, savoir évacuer le trop plein d’énergie et se canaliser. Le sport est un excellent moyen de se décharger, d’évacuer le stress et autres contrariétés du quotidien. Pour des maux plus profonds, des maux sans mots; la sophrologie est une méthode psycho-corporelle qui peut vous aider. Elle permet l’harmonie du corps et de l’esprit et ainsi une rencontre entre le psychique et le somatique. Pratiquer la sophrologie permet de s’apaiser, d’être à l’écoute de soi-même afin d’éviter l’accumulation et la fixation dans le corps. Alors qu’attendez vous ?
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